Sunday, December 27, 2009

HAITI : DES PUISSANCES DE L'ENFER A LA LUMIERE


UN ADEPTE DE LA HAUTE MAGIE PASSE DES TENEBRES A LA LUMIERE DIVINE.


UN EX-HOUGAN D'HAITI DEVIENT EVANGELISTE



Témoignage de la vie et de la conversion d'un Hougan ,franc-maçon et adepte de la cabale d'Haiti. Ce témoignage extraordinaire lève un coin de voile sur LES MYSTERES de cette petite republique qui figure aujourd'hui parmi les pays réputés pour leurs pratiques de sorcelleries, de zombifications, et autres œuvres demoniaques qui magnifient la puissance de lucifer, cet ennemi redoutable du chrétien. Mais il célèbre aussi la puissance infiniment supérieure de notre maitre et Seigneur Jesus Christ.
Esaie 61 :1
                L'esprit du Seigneur, l'Éternel, est sur moi, Car l'Éternel m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance.

Bientot disponible: Ouvrage traitant des analogies entre la Franc-maçonnerie, le Vodou, et l'Eglise catholique.

Analogies et trilogies des rites païens et des doctrines pseudo-chrétiennes 
Par: L'Evangeliste Claude Dougé

INTRODUCTION (1)




           Le malheur est –t-il un acte du destin, ou la vie de tout homme est elle minutieusement orchestrée par un plan conçu par Dieu ? Le témoignage qui va suivre est un étalage de souffrances, d’expériences douloureuses, ou l'enfer de son sceau d’ébène, irradiant de couleurs feutrées et d’un attrait immortel happe cet esprit incrédule qui me caractérisait, pour transformer l'aquarelle de ma genèse merveilleuse en une apocalypse hideuse. S’abreuvant du sang de mon humanité à travers ses racines, avides de sang corrompue. Le livre des proverbes nous exhorte à orienter tout jeune homme sur la voie qu’il doit suivre ; car la prédilection de notre chair maudite semble nous acheminer vers un infini hallucinant ou seul résonne le rictus des âmes égarés et le sifflement perpétuel et agaçant du séducteur. J’ai tout connu : de l’enfer d’une existence sans Dieu,  ma condition de pêcheur perdu, jusqu’au combat pour me libérer des horreurs d’un enfer terrestre et des tourments d'un enfer eternel.




            Mon questionnement  et ma relation avec le monde spirituel  commença  tôt, des ma plus tendre enfance. Je l’ai compris quarante ans plus tard. Le hasard n’existe pas dans la vie de l’homme, les voies de son salut ou de sa perte sont minutieusement préparées par le Dieu rédempteur et contrecarrées par Satan le persécuteur du genre humain. Omniscience et la volonte souveraine de Dieu sont la seule explication logique d’une vie faite de souffrances, de désillusions, d’enchevêtrement absurde, de contradictions affligeantes, de confusions insupportables orientent ma chair vers un refuge ou le déterminisme des choix m’impose la dualité et la polarité insurmontable d’un monde sous la domination du malin. Et tout comme l’Apôtre Paul, donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu et du bien, et je suis par la chair esclave de la loi du péché et de la souffrance. « Car je n’ai pas fais pas le bien que je veux, mais le mal que je ne veux pas et c'est le péché qui habite en moi. »


             Cette dualité, ce concept du bien et du mal est inné en nous elle est notre conscience ou notre responsabilité morale, elle est une constante, une dispensation, bien qu’aujourd’hui elle ne soit plus le fondement de nos relations avec Dieu. (C.I.Scofield). Cette conscience se révèle très tôt chez l’enfant, ne peut être une source de salut, mais bien orientée nous achemine a la grâce de Dieu. Cette conscience de l’existence et de l’expérience du mal m’a profondément marqué à un âge ou mes préoccupations devraient être tout autre mais ou le sort scellait déjà une existence ou la souffrance venait s’installer dans mon existence pendant pres d’un demi-siècle. Le mal n’a cessée de hanter mon existence des l’âge de 6 ans. La psychologie contemporaine et moderne, la sociologie et les autres sciences connexes se sont toujours évertués à donner des explications scientifiques a tous ce qui trouble l’âme humaine en oubliant que cet âme s’est éloigné de Dieu et ne peut bénéficier des bienfaits de son créateur et que beaucoup de dégâts auraient pu être éviter si ce facteur n’était pas ignorer. « Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ephésiens 6 :12


             « Il aurait mieux valu que tu meurent à ta naissance… »Comme ce tambour qui allait jouer un rôle prédominant dans mon initiation dans le vodou cette phrase tissé de haine ne cessait de résonner dans mon esprit. Deux semaines durant assis seul la nuit sous un manguier dans la cour je ne cessais de chercher une explication a ce souhait si troublant venant d’un être que je n’ai jamais cessé d’aimer. J’ai toujours eu le sentiment d’être un enfant différent. Très sensible je m’imposais tôt la priorité de plaire a mes parents, mes amis, mon entourage direct. Je me rappelle ma première bagarre à l’école. Un fait banale sans l’intervention dans la cour de l’école des parents du jeune avec qui je m’étais bagarré, leurs menaces, la complicité des responsables de cette institution…Et toujours ces interrogations sans réponses, se sentiment d’être écraser par ceux qui sont placé pour vous protéger. La présence constante de la milice dans la cour et devant l’école ne faisait qu’accentuer ce sentiment que je vivais dans une société ou la mort et l’injustice était un élément de mon quotidien à combattre. La lecture prématurée de Lénine, Marx me convainquirent qu’une société sans classe serait la solution idéale. Je n’avais que treize ans lorsque le communisme fut pour moi la solution des troubles de mon âme d’enfant et une réponse à mes interrogations. Les doctrines d’hommes ne sont pas de Dieu et elles nous entrainent souvent dans des courants que nous auront tôt ou tard à regretter. Ce mélange détonnant de déséquilibre social et affectif me plongeait involontairement dans un environnement angoissant et des interrogations plutôt religieuses dont les réponses furent tout aussi aléatoires et dangereuses. Je ne compris que fort tard que la violence politique et l’hermétisme initiatique sont des marches qui inévitablement conduisent à un univers satanique.
Ce combat contre l’injustice, ce désir de changer le statut quo allait donc me propulser vers des sphères :


1) politiques d’une violence insoupçonnée


2) ésotériques d’un hermétisme dangereux et infernal.


          Très tôt mon esprit d’enfant fut préoccupé dans son quotidien par la menace sourde de la dictature. Tout était conditionné par la peur, même notre intimité était perturbée, certaine conversation nous était même interdite par nos parents. Souvent je pouvais lire l’inquiétude qu’ils camouflaient si mal. Les couvre feu étaient choses courantes, le centre ville, je l’imaginais, blotti à cote de ma mère dans le noir dense de notre petit salon, devait avoir un aspect lugubre. Le bruit du moteur des jeeps de la milice faisait monter l’inquiétude sur le visage de mon père dont je scrutais les expressions n’osant lui poser de questions. La nuit était souvent ponctuée du bruit des mitrailleuses. Ce cauchemar prenait fin avec le lever du jour et la vie reprenait avec cette angoisse sourde qui devenait un élément lugubre s'imposant dans  notre quotidien. La mort du dictateur ne fit qu’amplifier le spectre du diable que la propagande officieuse du régime s’évertuais a propager pour consolider la peur au cœur de la population. Son enterrement fut perturbé par un vent fort, un tourbillon qui semblait suivre la dépouille du dictateur, semant la pagaille et la fuite même des diplomates qui assistaient a la cérémonie funèbre. L’obligation fut faite a toute la population d’assister a l’installation du fils du dictateur, ce fut encore une période dur de notre existence de peuple car la milice redoubla de zèles pour consolider le pouvoir de ce gosse qui n’avait que 18 ans. La dictature pouvait restreindre nos libertés mais ne pouvaient altérer notre faculté de penser. Les questions fusaient dans ma tète d’adolescent. Je cherchais des réponses à tout. Pourquoi la mort et le spectre du diable avaient ils autant perturber mon subconscient ? Pourquoi cet homme et son fils dont les photos se voyaient partout inspiraient autant la peur ?


         Mon père était à la fois ingénieur, avocat, professeur de français, écrivain membre de l’encyclopédie anglaise « who is who ». Plus tard après avoir été déposséder de son premier établissement scolaire a la deuxième ruelle Jérémie il revint un jour a la maison avec son bureau dans une camionnette, son associé lui avait tout pris, il ne lui restait que son bureau. C’était un homme de caractère, et ma mère avec beaucoup de tact le secondait dans ces moments de grandes épreuves. Je me rappelle nombres d’incidents en rapport avec la construction du bureau des contributions, aujourd’hui la D.G.I. ou la dictature avait vainement tenter de le corrompre pour ce heurter a ce caractère fort , jusqu'à l’obliger a laisser momentanément le pays .Souvent il recevait la visite d’homme prestigieux, écrivain comme lui, des ambassadeurs…Je garde de mon père le souvenir de homme de volonté, homme de lettre cultivé et cultivant les valeurs républicaines qui font de la vie ce joyau que nous avons perdu. Mon père faisait tout pour stimuler chez nous cette faculté de penser. Nos weekend ne se réduisait pas à l’études des leçons mais à la lecture. Il nous imposait même la lecture de ces auteurs préférés et ne cessait de nous répéter que le développement de l’intellect était un impératif pour devenir comme lui l’homme accompli qu’il était. Il était notre modèle. Il nous faisait peur étant un homme de forte stature et colérique, mais je l’aimais et il m’a involontairement transmis cet amour du savoir et cette liberté de la pensée. Il me disait souvent que la politique était dangereuse mais ne me cachait pas ses expériences d’adolescent du milieu politique haïtien et son dégoût de cette classe d’hommes. Ma mère était un élément d’équilibre dans cet univers familial ou l’amour régnait. Elle s’évertuait à rendre agréable notre quotidien, nous faisait de la pâtisserie en weekend. Et nous entourant de cet amour qui était une vraie source d’énergies. Contrairement a mon père elle était douce, complaisante dévouée.


            Je n’étais qu’un adolescent lorsque la lecture de l’ouvrage intitulé : « Papa Doc et les tontons macoutes » me plongèrent dans cet univers hallucinant de crimes et de satanisme. Je comprenais mieux mes appréhensions et mes peurs d’antan. Puis ce fut l’âge ou comme tout jeune homme je commençais à m’intéresser aux jeunes filles. Mais fait intéressant dans mon mentale d’adolescent la première riposte était de fuir le milieu ou les satrapes de la dictature étaient trop présente. Dans mon subconscient déjà j’associais la dictature le satanisme et la complaisance de la hiérarchie catholique. Je me fis chassé de l’institution catholique très réputé que je fréquentais des l’âge de 6 ans pour fréquenter l’école de mon père. L’atmosphère était différente, des sujets tabous concernant le futur démocratique était débattu …C’était ma première expérience dans un milieu scolaire ou il y avait des jeunes filles. J’appris difficilement à vaincre ma timidité Durant cette période de mon existence je subis énormément l’influence radicale de mon père le savoir que j’accumulais a la fin de mon cycle scolaire me donnais cette maturité qui m’aidait a mieux appréhender la réalité de mon milieu. Les interrogations ne cessaient pas dans ma tète d’adolescent, et les réponses fusaient de toute part. Dans cet environnement scolaire se dessinait déjà le profil de l’être qui allait être l’outil du malin en croyant faire le bien et en minimisant les influences familiales et néfastes des dieux de nos pères.


« L’iniquité des pères retombera sur les enfants ». L’homme haïtien est un être complexe. Nous revendiquons souvent nos origines africaines en oubliant souvent que nos pères avait adoptés de force la religion catholique ignorant qu’elle n’était qu’une réplique des sociétés ésotériques qui tirent leurs essence de l’hermétisme dont se prévalent les inities des sociétés secrètes européenne. Le Vodou, la maçonnerie, et le catholicisme se complètent. L’initiation vodou est liée au catholicisme puisque son rituel prend fin dans les églises catholiques. Les rituels maçonniques principalement le rituel du troisième degré du maitre trouve son explication dans les rites secrets du vodou :bizangos et champouels. La destiné de l’homme haïtien non régénéré par l’Esprit de Dieu est identique a celle de tous les infidèles vodouisants, catholiques, franc-maçon, templier, et autres. Tôt dans la vie j’ai été choqué par cette société injuste, et ma conscience interpellée par des interrogations religieuses. Trente durant, je me battis contre ce qui était l’ennemi à abattre, ignorant que je portais en moi les germes de l’infidélité du diable et que je menais ainsi aussi une guerre contre moi-même. Après le démon de la dictature la sorcellerie fut la deuxième force interpellant ma conscience à laquelle je fus confronté.




         Je devais avoir onze ans lorsqu’un matin la maison fut alertée par les cris d’angoisse d’une des servantes qui rentra précipitamment dans la salle à manger hurlant qu’il y avait un mort un zombi dans l’arrière cour. Elle était terrorisée et affirmait l’avoir aussi aperçue durant la nuit. Mon père se rendis seul dans la cour et revient perplexe et nous intima l’ordre d’éviter l’arrière de la cour. La servante sollicita de ma mère l’autorisation de prendre ses effets et d’abandonner son travail. On sentait un peu d’inquiétude dans la voie de ma mère. Apres le départ de mes parents je me rendis malgré les recommandations de mon père dans l‘arrière cour. Je tenais à voir ce qui avait tellement effrayé la servante, Ce trait de caractère fort et hardi allait me caractériser pendant toutes les longues années de mon expérience dans l’occultisme. Je passais de longues heures à attendre. L’accès de cette partie de la maison fut interdite durant plus d’un mois. Je ne sus jamais pourquoi. Plus de vingt ans après, cette partie de la maison allait encore être le théâtre d’événements difficile a expliquer et en étroit rapport avec moi. Mes premières explorations d’un monde qui me fascinait pour avoir terroriser toute une population jusqu'à nos jours n’allait pas s’arrêter la. Deux événements insignifiants pour moi à l’époque allaient me faire palper cet univers invisible satanique et dangereux. Elles eurent lieu à l’époque de mon adolescence.


            Jusqu’a quinze ans mon père ne nous autorisais à sortir que pour aller a l’école. Il nous était interdit de jouer avec les autres gamins de notre âge. Ils ne fréquentaient d’ailleurs pas la maison. Mon père était aussi d’un tempérament taciturne, fermé. Il ne recevait que les rares parent et amis qui s’accommodaient de ce tempérament austère. Sa vie à la maison se réduisait a son bureau et ses écrits. Il vivait dans un monde différent je le sentais. Il se couchait très tôt pour se réveiller durant la nuit et je le surprenais parfois rentrant ans son bureau que nul autre que ma mère n’osait pénétrer. Il se réveillait très tôt et on le voyait souvent dans la cour faisant son sport journalier. C’était un athlète de forte stature. Il nous autorisa après nos quinze ans d’aller ensemble au cinéma. Il nous était interdit de rentrer plus tard que 5 heures. Pourtant en mainte occasion je trompai sa vigilance pour suivre des jeunes du quartier dans leurs aventures rocambolesque.


         Il devait être 6 heures ce soir. Enfin je me trouvais au milieu de ce groupe de jeunes de mon âge que je ne pouvais admirer jusqu'à date du haut du balcon. Mon père était dans son bureau ma mère habituellement comme toujours lisait confortablement sur sa dodine. Les enfants étaient en principe au lit, je me trouvais sur le trottoir faisant connaissance avec ces jeunes qui me posait plein de question ravi de m’avoir parmi eux. Ce manège recommença la semaine suivante et ainsi de suite jusqu’au jour ou je me fis surprendre et après une longue conversation avec un père qui me faisait peur, il admit le principe de rejoindre ces jeunes pendant le weekend. C’était un samedi, les vacances battait leurs plein. Les soirées avec les jeunes suivait le rituel habituel : guitares, blagues, draguer les jeunes filles et tout ce qui préoccupe les jeunes a cet âge. Mais inhabituellement je ne participais pas. Je me tenais en dehors du groupe et percevais clairement le Tam Tam d’un tambour. Discrètement je m’éloignai du trope et me dirigeai cers ce son qui me faisait tourner la tète, Je tournai le coin , les rues étaient presque déserte, sombre, plus de 3 km me séparait de ce son étrange qui semblait me remplir , j’étais seul et aucune crainte ne me troublait et la au haut d’une petite colline, j’aperçus une petite maisonnette qui ressemblait a ces petites maisons en miniatures décorées de papiers en couleurs que l’on vendait aux enfants durant les fêtes de fins d’années. Le bruit étais clair, je pouvais entendre clairement les chants d’une assemblée qui différait de tout ce que j’avais vu ou entendu. Un petite lampe a kérosène éclairait la cour, je m’approchai du seuil de la porte, il faisait chaud a l’intérieur, le blanc que portait les femmes qui constituait plus de la moitie de l’assemble contrastait étrangement avec ce mélange de couleurs divers, de mouchoirs qui décorait l’intérieur, Les chants étaient ponctués du roulement énergique d’une paire de baguette et entrecoupés par celui d’une baguette de forme bizarre qui semblait vouloir crever la peau d’animal qui recouvrait le tambour. L’ammonie était parfaite la chorales des femmes semblait être diriger par la voie forte d’un homme que l’on entendait a intervalle régulier. On avait l’impression qu’un dialogue étrange s’effectuait entre ces femmes, la voie forte de l’homme et le son harmonieux des tambours. L’odeur de l’alcool de la cigarette donnait à cette scène un caractère encore plus étrange. Les spectateurs participaient en chantant eux aussi. On sentait une étrange cohésion dans tout ce qui se passait à l’intérieur de ce petit temple. Mon attention était particulièrement attire par une très jeune femme qui portait un magnifique mouchoir bleu. Ma contemplation fut brutalement interrompue par un son guerrier qui sortait de la bouche de cet homme qui semblait diriger l’auditoire. Le rythme du tambour changea, l’assemblée était brusquement tendu, un cercle se fit autour de cet homme de rouge vêtu. Les muscles de son torse semblait vouloir déchirer cette chemise de type africain et soudainement il sembla être en transe, on lui tendit une machette aiguiser qu’il se mit à faire tournoyer autour de la tête de l’assemblée qui l’entoure


         Aucune crainte ne semblait habiter les spectateurs, un coup de machette d’un homme de cette stature aurait fait sauter des tètes. Etrangement je ne ressentais aussi aucune crainte, aucune appréhension. J’étais la en sueur captiver par le spectacle et me semblais étrangement dans mon élément. Brusquement cet homme s’approcha de moi...